VERSION COURTE (POUR LES PARESSEUX)

Mon nom est Toby Laflamme et je gosse des chansons franco-crash.

Écoute ce que je fais ici.
Regarde ce que je fais ici.

Version longue (pour les gens sérieux)

Toby Laflamme est un « gosseux de chansons » de Terrebonne, Lanaudière.

Digne représentant du mouvement « franco-crash », improvisateur à la langue bien pendue et chanteur/guitariste auprès de l’équipe de musique Les Tirebouchons pendant près d’une décennie, il se complaît aujourd’hui dans un projet musical aux accents folk-rock un peu trash, où les mots prennent une place immense.

Tantôt festif, tantôt introspectif, son univers coloré est peuplé de personnages peu fréquentables, d’histoires farfelues et de ritournelles entrainantes.

En spectacle, l’énergie atteint son paroxysme lorsqu’il se retrouve accompagné sur scène par ses Accélérants (Francis Lacroix, Benoit Lacroix, Domenico Ciampanelli, Yan Map et Rémi Giguère), une bande de joyeux troubadours qui ne demandent qu’à exprimer leur fureur de vivre.

Lauréat du prix Personnalité artistique au dixième Gala Florilège et demi-finaliste de la 25ème édition de Ma première Place des Arts, il a lancé un premier album autoproduit intitulé Corps étrangers à l’automne 2015.

Il planche présentement sur son deuxième opus qui verra très probablement le jour…un moment donné!

La chanson-titre de l’album Je suis en feu a été lancé le 30 novembre 2019 dans le cadre d’un spectacle à la Salle Claude-Léveillée de la Place des Arts.

Un second extrait nommé Saint-Nulle-Part fut dévoilé, en pleine pandémie, le 2 avril 2020 puis une troisième chanson nommée NÉ4NT fut lancée sur les internets le 20 avril 2022. Que veux-tu, c’est long faire un deuxième album man.

Parallèlement à ce projet, le gosseux de chansons autoproclamé fait partie du Collectif Route Laflamme en plus de produire, avec son comparse Alexandre Proux, des capsules humoristiques nommées Le Pauvre Segment pour l’émission Les Pénibles diffusé à CISM.

Ah oui, Toby Laflamme est également un travailleur du Web passionné.

« J’dormirai quand je serai mort. »